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Brave GNU World - numéro 57
Le meilleur du GNOUveau monde
Copyright © 2003 Georg C. F. Greve <greve@gnu.org>
Traduction [FR] : Laurent Richard <laurent.richard@ael.be> , Valery Cedigt <valerycedigt@a.supprimer.yahoo.fr>
Permission ci-dessous.

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Bienvenue dans ce nouveau numéro de Brave GNU World, dans lequel nous aborderons une nouvelle fois le sommet de l'ONU sur la société de l'information. Ce sommet étant supposé fournir une référence pour les décennies à venir, il semble utile de comprendre le processus en cours.

Cependant, dans le but de ne pas négliger totalement le côté technique, deux projets seront d'abord abordés.

JaxoDraw

Le premier projet de cette édition a été proposé par courriel [1] par Thomas Teußl et se nomme JaxoDraw [5]. JaxoDraw a pour but la création interactive de diagrammes de Feynman.

La plupart des lecteurs ne sont probablement pas familiers avec le physicien américain Richard Feynman ou les diagrammes qui portent son nom. Aussi voici une courte présentation. Richard Feynman fut l'un des physiciens les plus influents du 20ème siècle. Il a reçu le prix Nobel en 1965, avec Sin-Itiro Tomonoga et Julian Schwinger, pour ses travaux sur l'électrodynamique quantique. Habituellement, les étudiants en physique font sa connaissance par l'intermédiaire des "Cours de Physique de Feynman", l'un des meilleurs cours pour approfondir ses connaissances en physique.

Les diagrammes de Feynman sont communément utilisés dans la théorie des champs quantiques, permettant ainsi de réduire les calculs particulièrement complexes de la physique des particules à de simples variations d'amplitude. Ils aident également à mieux comprendre les interactions entre particules.

JaxoDraw utilise le projet Axodraw [6] de J.A.M. Vermaseren, pour lequel il procure une interface utilisateur de type WYSIWYG, et permet ainsi la création des diagrammes de Feynman à la souris . Bien entendu, l'ajustement fin des paramètres au clavier est toujours possible.

La représentation et le stockage internes des données de JaxoDraw sont faits dans un format basé sur XML et les données de sortie peuvent être formattées en Postscript (encapsulé), lequel permet la conversion en PDF ou en code LaTeX [7]. La facilité d'interfaçage avec LaTeX fut une préoccupation majeure pour Daniele Binosi et Lukas Teußl, les auteurs de JaxoDraw, car cela permet d'insérer aisément des diagrammes dans les articles scientifiques.

Grâce à son efficacité et sa flexibilité, le système de composition LaTeX est très populaire dans les domaines scientifiques en général et en Physique en particulier.Toutefois son approche non-WYSIWYG rend difficile l'obtention d'un résultat déterminé lorsqu'on travaille sur des diagrammes. Ceci fait de JaxoDraw une extension très utile pour les utilisateurs de LaTeX.

Comme le nom le suggère, JaxoDraw est écrit en Java. Cela lui confère une certaine indépendance par rapport à la plateforme d'exécution, mais le rend dépendant de l'implémentation propriétaire Java de Sun, ce qui nous ramène aux problèmes usuels. JaxoDraw lui-même est un logiciel libre distribué sous license GPL.

Bien que les auteurs déclarent clairement qu'il n'est pas obligatoire de citer l'article scientifique afférent, ils encouragent fortement les utilisateurs de JaxoDraw à le faire [8]. Ceci présente une corrélation intéressante avec les considérations portant sur le Logiciel Libre et la science évoquées dans le numéro 54 de Brave GNU World [9] ; cela montre de quelle façon un logiciel libre devient, dans les faits, une publication scientifique.

Le projet suivant, plus ou moins à l'arrêt pour le moment, traite également de typographie et de publication, mais il est tout spécialement dédié aux non-scientifiques.

Mom

Le contact des utilisateurs avec GNU groff [11] passe le plus souvent par la mise en forme des pages de manuel, lesquelles fournissent une aide pour la plupart des commandes d'un système Unix en saisissant simplement "man <command>."

Peu de personnes réalisent que groff est de fait un outil de composition de texte pur, proche de TeX ou de lout, avec lequel des documents en postscript à la typographie professionnelle peuvent être créés. « L'introduction à Perl d'O'Reilly » en est un des exemples. Pour ce faire, groff n'a besoin que d'une fraction des ressources nécessaires à LaTeX -- il peut être utilisé sur un 386 avec 8 Mo de RAM et 250 Mo de disque dur sans difficultés.

Selon Peter Schaffter, un écrivain canadien qui -- en reprenant ses propres mots -- vit dans la même misère que beaucoup de ses collègues, la ressource constituée de GNU/Linux et de groff a été un facteur probant dans cette décision. Ses ordinateurs ont en général quelques générations de retard sur le dernier cri ; ce sont des machines à « ressources limitées » qu'on lui a données.

Malheureusement, groff n'est pas très facile d'apprentissage pour la plupart des utilisateurs car les commandes sont assez laconiques, très peu intuitives typographiquement et (toujours selon Peter Schaffter) « réservées aux Über-geeky (NdT: réservées aux hyper-technos). » C'est la raison pour laquelle il a débuté le travail sur Mom. [12]

De la même façon que LaTeX est bâti au dessus de TeX, Mom fournit un jeu de macros pour groff, qui définissent une syntaxe simplifiée. Il permet, en même temps, un contrôle typographique très fin des documents générés, au niveau des autres solutions DTP, sans nécessiter de connaissances sur la syntaxe ésotérique de troff/groff.

Mom cible les compositeurs qui se sont découragés face à la syntaxe de troff/groff, les écrivains qui veulent seulement écrire leurs textes, leur donner un aspect présentable et les débutants qui cherchent une solution correctement documentée.

En fait, Peter Schaffter a passé beaucoup de temps avec la documentation car il est convaincu qu'une bonne documentation est une partie essentielle d'un programme réussi. C'est un sentiment qui n'est pas suffisament partagé. La documentation est librement disponible sous la GNU Free Documentation License (GFDL) au format HTML. De nombreuses références croisées, ainsi qu'un formatage sans fioritures la rendent agréable à lire avec tout navigateur.

Florian Cramer, qui a répondu aux questions habituelles de Brave GNU World sur Mom, a mis en évidence les trois avantages principaux de son approche. Le premier est la combinaison unique de traitement des documents structurés avec un excellent contrôle manuel de la mise en page. Le second est la frugalité de la demande en ressources et le troisième est une complexité sensiblement moindre en comparaison de LaTeX, ce qui facilite les modifications individuelles.

Puisqu'il ne supporte ni les références croisées, ni les indices ou figures auto-numérotées -- contrairement à LaTeX --, le projet paraît peu adapté à l'utilisation scientifique. De même, les formats de sortie sont en nombre réduit. Mom est dédié à la production de PostScript (et donc de PDF) ; et en théorie, « grotty » et « grohtml » permettent aussi la sortie de texte pur ou de HTML mais le projet n'y a pas porté attention.

Écrit à l'origine par un écrivain canadien pour ses propres besoins, Mom offre exactement ce dont avait besoin Peter Schaffter : une manière pleinement fonctionnelle de mettre en forme élégamment du texte.

Florian Cramer va encore plus loin et a donc demandé pourquoi tous les systèmes XML/SGML utilisent exclusivement TeX et pas groff pour fournir une sortie imprimée ; selon lui, groff produirait un bon format de sortie pour ceux basés sur XML, tel que l'a déjà démontré O'Reilly avec son « Programmation avec Perl » en utilisant DocBook SGML et groff.

De son point de vue, Peter Schaffter est un de ces héros oubliés du Logiciel Libre et il a été particulièrement impressionné par la cordialité et la rapidité avec laquelle ses suggestions ont été accueillies et adoptées (la génération automatique de table des matières). Si d'aventure, vous souhaitez contacter Peter Schaffter, assurez-vous que votre sujet de courriel contienne les mots « groff » ou « mom », sinon, il ne passera pas le filtre anti-pourriel.

Même si quelques ajouts peuvent être faits à Mom à la demande, il est considéré stable et Peter Schaffter voudrait bien laisser aux autres utilisateurs le soin de décider quelles extensions sont utiles ou nécessaires.

Fruit d'une décision mûrie, Mom est un Logiciel Libre sous la GNU General Public License (GPL), non seulement comme un cadeau en retour et pour remercier mais aussi parce qu'il se sent proche des valeurs du Logiciel Libre.

Étude sur "L'éthique du hacker"

Il y a, dans la pratique, un nombre de plus en plus important d'approches "classiques" pour essayer de comprendre le phénomène du Logiciel Libre. Différentes universités allant de celle d'économie à celle de sociologie et même des thèses de doctorats se sont penchés sur la question. Une d'entre elles est celle d'Aputsiaq Niels Janussen "Hacker-etik - en filosofisk undersøgelse" ("L'éthique du hacker - une étude philosophique") [12].

Même s'il est familier des Logiciels Libres et de GNU/Linux, il n'avait pas beaucoup réfléchi à cette problématique avant l'été 2003. Durant cet été, son intérêt pour l'aspect philosophique du Projet GNU [13] s'est accru, spécialement avec les articles de Richard Stallman.

En s'appuyant sur le livre de Stephen Levy ("Hackers", 1984), il commença des études sérieuses sur le phénomène et a inclus une controverse constructive avec "L'éthique du hacker" de Pekka Himanen dans sa thèse.

Le document a été rendu le 7 juillet 2003, il est donc terminé mais disponible en tant que documentation libre sous la GNU Free Documentation License (GFDL) et si quelqu'un désire l'aider, Aputsiaq accepterait volontiers une traduction du danois vers l'anglais. Étant donné qu'il va commencer à travailler et qu'il va plus que probablement déménager au Groenland en 2004, il ne pourra très certainement pas trouver le temps de le faire lui-même.

Son anecdote préférée dans sa thèse est que durant ses discussions avec Richard Stallman. Richard faisait part de son scepticisme quant à l'existence d'une éthique du hacker. Le mot de la fin sur les questions de savoir et de société de l'information a déjà certainement été envisagé.

Sommet Mondial sur la Société de l'Information (SMSI)

Les éditions 53 [14] et 56 [15] de Brave Gnu World ont déjà traité du Sommet Mondial sur la Société de l'Information. A présent, le sommet est sur le point de clore sa première session préparatoire à Genève et d'atteindre son apogée. Bien que le chancelier Schröder, qui avait précédemment annoncé sa venue, ait dû, du fait des affaires internes de l'Allemagne, déléguer cette tâche au Ministère de l'Economie et du Travail, les questions abordées au sommet touchent au plus haut niveau international.

De façon pas tout à fait inattendue, la session préparatoire PreComIIIa, qui avait été lancée précipitamment, n'a pas apportée de solution sur les thèmes critiques tels que les Droits de l'Homme, le financement, les monopoles de l'intelligence limités - en particulier, les brevets et les droits d'auteur - et le Logiciel Libre. Dans le domaine du Logiciel Libre, un compromis semblait imminent lorsque les États-Unis ont conditionné l'acceptation de cette clause à l'acceptation, par les autres pays, de la clause portant sur les monopoles de l'intelligence limités.

Le groupe débattant de ce sujet s'est réuni à plusieurs reprises dans le cadre de rencontres non limitées dans la durée. Ces rencontres commençaient vers 19 heures et se terminaient généralement sans résultat vers 22 heures 30. Durant ces trois heures et demi de négociations à huis clos, après une longue et exténuante journée, avec trop peu d'air frais et de nourriture, les volontés de compromis se faisaient rares.

La deuxième nuit s'est ouverte sur les déclarations de l'association américaine du cinéma ("Motion Picture Association of America"), en présence de ses délégués, juste au moment où le représentant de l'organisation pour la propriété intellectuelle mondiale ("World Intellectual Property Organization" - WIPO) devait quitter la pièce.

Le ministre de la Justice allemande a précipitamment consulté un expert sur le sujet et un consensus a été recherché lors de discussions tant bilatérales que multilatérales. Ceci aboutira très probablement à la mise en valeur de l'importance d'un équilibre entre la monopolisation et l'accessibilité du savoir sans présupposer de l'existence d'un tel équilibre à ce jour.

D'après les derniers éléments, les négociations tournent autour de ce point. C'est la Société Civile qui est parvenu à faire passer ce sujet épineux. En effet, aucun gouvernement ne l'avait présenté officiellement, par crainte de la confusion qu'entraînerait l'apport de nouveaux textes.

L'article "Lutter contre la pauvreté intellectuelle -- Qui possède et contrôle les sociétés de l'information ?" [16], qui a été écrit par la fondation Heinrich Böll pour une publication du SMSI, pourrait également s'avérer intéressant dans ce contexte.

Repères essentiels

La Société Civile, c'est-à-dire les participants du sommet qui n'appartiennent à aucun gouvernement, économie ou organisation proche des Nations Unies, se concentre de plus en plus sur la mise en avant de sa propre vision des choses. En particulier, le temps à PrepComIIIa a été utilisé pour améliorer le document qui avait été, à l'origine, dénommé "les non-négociables de la Société Civile".

Les quatre pages de ce document, à présent appelé "Repères essentiels pour la Société Civile" [17], traitent des problèmes principaux et démontrent de quelles façons ils peuvent être significativement réduits. Ceci est, à ce jour, le document le plus compact et le plus complet - et la "Déclaration visionnaire" de la Société Civile, qui est sur le point d'être écrite comme une contre-vision de la déclaration gouvernementale, devra encore se démarquer par rapport à celle-ci.

Mais même dans les rangs de la Société Civile, il y a un besoin considérable de discussion et les dissensions sont présentes à tous les niveaux.

Concernant la cybergouvernance, il subsiste encore une divergence entre le Nord, qui recherche une indépendance accrue par rapport au contrôle gouvernemental, et le Sud, pour qui le contrôle gouvernemental fournirait la stabilité désirée.

Les questions sur les monopoles limités de l'intelligence nécessitent également un complément de discussion ; tandis que certaines organisations cherchent à protéger les droits des personnes indigènes par l'intermédiaire d'une monopolisation accrue, cela se fait en opposition à la plus grande partie du monde, où un réajustement des monopoles est nécessaire pour autoriser l'accès à l'information et aider à surmonter la fracture numérique.

Et même pour des questions d'ordre général non critiques, il reste nécessaire de discuter au sein de la Société Civile entre Sud et Nord, femmes et hommes, jeunes et vieux et entre les diverses régions. Parmi la Société Civile, beaucoup de personnes n'ont, par exemple, pas encore appréhendé le logiciel en tant que nouvelle culture technique et réalisé en quoi le Logiciel Libre apporte des réponses à des questions sociales fondamentales.

Mon préféré en la matière est une citation du groupe de travail sur le "Paragraphe du Logiciel Libre" de PreComIIIa lorsque l'un des délégués du gouvernement des États-Unis affirma que le choix entre propriétaire et Logiciel Libre était un choix politique et non un choix technique, mais que ce forum (le sommet) n'était pas l'endroit adéquat pour prendre de telles décisions.

Des fentes à pièces dans les chambres d'hôtel ?

En guise de mot de la fin, je désirerais mentionner une absurdité qui s'est massivement répandue, particulièrement dans les hôtels et les aéroports : l'accès à Internet sans fil à un coût ridiculement exorbitant.

Installer un point d'accès sans fil simple dans le hall d'un hôtel ou d'un aéroport (dans la plupart des pays nordiques) ne demande généralement guère plus qu'un investissement de 500 EUR et les frais mensuels qui tournent aux alentours de 30 EUR (pour de l'ADSL à taux constant).

En fait, il y a de plus en plus d'hôtels et d'aéroports qui offrent des réseaux sans fil. Mais généralement, les prix fluctuent de 3 à 10 EUR la demi-heure d'accès à Internet. De plus, quand un voyageur a un besoin immédiat de se connecter, le mode de paiement constitue un nouvel obstacle.

Généralement ces réseaux sont conçus comme des réseaux ouverts dans lesquels le premier accès HTTP est routé vers une page spécifique pour le paiement. La chance nous sourit quand celle-ci permet de payer directement via une carte de crédit car, dans la plupart des cas, le système ne fonctionne que par l'intermédiaire de cartes prépayées en vente dans le hall.

Mais malheureusement, ces cartes souffrent souvent d'une rupture de stock ou ne sont pas du tout disponibles. J'ai fait l'expérience que pour un aeroport suisse donné, deux fournisseurs d'accès se faisaient concurrence. Il en résulte que trouver le point de vente pour le bon réseau relevait du parcours du combattant.

Même si on est en mesure de se procurer l'une de ces cartes, ce n'est pas encore la fin des ennuis car la plupart des fournisseurs d'accès semblent incapables de créer des pages web stables fonctionnant avec tous les navigateurs. Javascript est la technologie la moins propriétaire rencontrée. Il peut donc arriver que les pages ne soient pas disponibles bien que le code ait été saisi correctement ou alors que les cartes prépayées se déchargent d'elles-mêmes rapidement.

Dans un cas, à Turin (Italie), éteindre le compteur n'était possible qu'au moyen d'une fenêtre pop-up pour laquelle le navigateur doit au préalable accepter un pop-up et un cookie de n'importe quel site. Indépendemment du fait que l'utilisation du service était tributaire de l'ouverture de trous de sécurité sur l'ordinateur, aucune information n'était bien entendu disponible sur ces contraintes et l'utilisateur devait tout trouver par lui-même.

Étant donné les coûts microscopiques de l'installation et de la maintenance d'un point d'accès sans fil à Internet en comparaison avec l'installation et la maintenance de l'eau courante et des sanitaires, devons nous nous attendre à trouver des fentes à pièces à côté des toilettes, de la douche ou du robinet de votre chambre d'hôtel ?

Ces fentes n'accepteront bien-sûr pas la monnaie traditionnelle mais des jetons spéciaux qui devront parfois être achetés à la réception et parfois uniquement à la station-essence de l'autre coté de la rue qui, malheureusement, ferme à huit heures du soir.

Mais nous vivons déjà dans "l'ère du sanitaire" -- c'est l'ère de l'information qui semble encore très lointaine lorsque nous sommes confrontés à de tels développements.

Bonne année

Et bien, c'en est fini de Brave GNU World pour 2003, je souhaite à tous les lecteurs une bonne année 2004 en espérant que vous ne vous retiendrez pas de faire des commentaires, poser des questions, me donner des idées, faire vos critiques, vos louanges ou proposer des suggestions de projet à l'adresse habituelle. [1]

Info
[1] Envoyer vos idées, commentaires et questions à Brave GNU World <column@brave-gnu-world.org>
[2] Page d'accueil du projet GNU http://www.gnu.org/
[3] Page d'accueil du Brave GNU World de Georg http://brave-gnu-world.org
[4] Initiative "GNU c'est nous" http://www.gnu.org/brave-gnu-world/rungnu/rungnu.fr.html
[5] Page d'accueil de JaxoDraw : http://altair.ific.uv.es/~JaxoDraw/home.html
[6] Page d'accueil de Axodraw : http://www.nikhef.nl/~form/FORMdistribution/axodraw/
[7] Page d'accueil de LaTeX : http://www.latex-project.org/
[8] L'étude "JaxoDraw: A graphical user interface for drawing Feynman diagrams" : http://arxiv.org/abs/hep-ph/0309015
[9] Brave GNU World - numéro 54: http://brave-gnu-world.org/issue-54.fr.html
[10] Page d'accueil de GNU GROFF : http://www.gnu.org/software/groff/groff.html
[11] Mom Makroset: http://www.ncf.ca/~df191/mom.html
[12] "Hacker Ethics - a philosophical investigation" (Dänisch) http://www.hacker-etik.dk
[13] Projet GNU : http://www.gnu.org
[14] Brave GNU World - numéro 53 : http://brave-gnu-world.org/issue-53.fr.html
[15] Brave GNU World - numéro 56: http://brave-gnu-world.org/issue-56.fr.html
[16] "Fighting intellectual poverty" http://fsfeurope.org/projects/wsis/issues.html
[17] Comparatifs principaux de la société civile : http://fsfeurope.org/projects/wsis/cs-benchmarks.html

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Copyright (C) 2003 Georg C. F. Greve
Traduction [FR] : Laurent Richard, Valery Cedigt

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Last modified: Fri Mar 11 09:38:26 CET 2005